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dimanche 15 juin 2014

Un touriste en enfer (roman)

Et oui, je l'ai fini... enfin !
Je l'ai commencé en 2005 : ça fait une plombe !
Voici sa couverture définitive :


Il est presque entièrement sous forme de dialogue.
Quand je l'ai commencé, je ne le voyais pas comme un roman... juste comme un moyen de me vider le coeur sur un certain nombre de sujets. Puis j'ai eu l'idée d'une fin (très simple).
Le résultat était intéressant, mais pas satisfaisant.
Je l'ai repris beaucoup plus tard, avec l'idée de le transformer en "vrai" roman. Mais vu que son point de départ ne l'était pas, romanesque, il n'était pas évident de rattraper la sauce en cours de route... et le résultat est un roman plus philosophique que romanesque. Il se passe des choses, certes, mais les coups de théâtre sont comme atténués, puisqu'on n'y assiste presque jamais directement. (On en a l'écho à travers des conversations.)
Je le trouve tout de même réussi, principalement parce que la fin me plaît beaucoup, et qu'il me semble que j'ai réussi à faire l'équilibre entre différentes personnalités et différents parcours.
Et puis surtout, il est drôle... peut-être même de plus en plus drôle.
Et pourtant, les sujets abordés n'ont rien de particulièrement réjouissant : suicide, meurtre, meurtre d'enfant, pédophilie, cannibalisme, etc.!
Je pense qu'on peut lui trouver quelques points communs avec Hygiène de l'assassin, sauf qu'Un touriste en enfer est infiniment plus dérangeant, et risque d'énerver très fort beaucoup de lecteurs, à cause des idées qui y sont exprimées...

1 commentaire:

  1. Un roman philosophique dérangeant et (un peu) drôle ? Tiens tiens...
    Les ingrédients faits pour me plaire !

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