Il y a principalement deux manières d'ajouter du contraste.
Prenons par exemple la phrase (insipide et sans saveur) suivante :
"Jacques était un homme très doux."
Première méthode : dire ce que la chose n'est pas avant (ou après) de dire ce qu'elle est
Nous pouvons la pimenter ainsi :
"Jacques n'était pas du tout violent. C'était, au contraire, un homme très doux."
Pour mettre du contraste, on se contente ici de commencer par dire ce que Jacques n'est pas.
Variantes :
"Loin d'être un homme violent, Jacques était toujours d'une grande douceur."
"Jacques, non-violent, faisait preuve de beaucoup de douceur."
"Jacques était très doux. Il n'avait vraiment rien d'une brute."
Deuxième méthode : parler d'une chose ayant les caractéristiques contraires avant (ou après) de parler de la chose principale
Mais on peut aussi ajouter du contraste en parlant de quelque chose (ici, de quelqu'un) d'autre.
Exemple :
"Jean était une brute d'une épaisseur impitoyable qui frappait sa femme lorsque les pâtes étaient trop ou pas assez cuites. Par un contraste étrange son frère Jacques était, lui, d'une grande douceur."
Vous voyez comment Jacques apparaît plus doux dans cette dernière phrase ?...
De même que si on veut que du rouge paraisse plus rouge, il faut mettre du vert juste à côté.
C'est ça, la force du contraste.
Moralité ?
Pour un style captivant, utilisez l'art du contraste.
Prenons par exemple la phrase (insipide et sans saveur) suivante :
"Jacques était un homme très doux."
Première méthode : dire ce que la chose n'est pas avant (ou après) de dire ce qu'elle est
Nous pouvons la pimenter ainsi :
"Jacques n'était pas du tout violent. C'était, au contraire, un homme très doux."
Pour mettre du contraste, on se contente ici de commencer par dire ce que Jacques n'est pas.
Variantes :
"Loin d'être un homme violent, Jacques était toujours d'une grande douceur."
"Jacques, non-violent, faisait preuve de beaucoup de douceur."
"Jacques était très doux. Il n'avait vraiment rien d'une brute."
Deuxième méthode : parler d'une chose ayant les caractéristiques contraires avant (ou après) de parler de la chose principale
Mais on peut aussi ajouter du contraste en parlant de quelque chose (ici, de quelqu'un) d'autre.
Exemple :
"Jean était une brute d'une épaisseur impitoyable qui frappait sa femme lorsque les pâtes étaient trop ou pas assez cuites. Par un contraste étrange son frère Jacques était, lui, d'une grande douceur."
Vous voyez comment Jacques apparaît plus doux dans cette dernière phrase ?...
De même que si on veut que du rouge paraisse plus rouge, il faut mettre du vert juste à côté.
C'est ça, la force du contraste.
Moralité ?
Pour un style captivant, utilisez l'art du contraste.
Merci ! Je vais essayer de m'y mettre...
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